Albâtre sculpté et lissé. Le vase a peut-être à l’origine été fabriqué en deux parties, panse et col. L’évidement suit la forme générale du vase, le fond est arrondi.

Sous le vase est écrit à l’encre : « 348 »
L’emplacement d’une ancienne étiquette, maintenant disparue, est visible.

Le col, une anse, ainsi qu’un fragment de la lèvre, ont été cassés et recollés. L’autre anse et un fragment de la lèvre manquent. Un petit éclat  eapparaîtsur le pied.
Des dépôts noirs sont visibles à l’intérieur du vase (poussière ou résidus de produit antique ?).

Interventions antérieures :
Le col, les deux anses, ainsi qu’un fragment de la lèvre, ont été cassés. L'anse conservée a été cassée en deux morceaux. Tous ces fragments ont été recollés vraisemblablement à la gomme laque comme en témoignent les débordements devenus bruns. Des bouchages au plâtre ont été réalisés pour combler les éclats manquants sur les plans de joint. Ces bouchages ont en partie disparu.
Les collages anciens sont malencontreusement très visibles, car la gomme laque, devenue très brune, contraste beaucoup avec le blanc de l'albâtre. Les bouchages comblant les éclats manquants sur les plans de cassure ont en grande partie disparu.

Nettoyage effectué en juin 2013 (Sophie JOIGNEAU et Marie LOUIS).